Soncourt-sur-Marne

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Soncourt-sur-Marne
Soncourt-sur-Marne
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Haute-Marne
Arrondissement Chaumont
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Chaumont
Maire
Mandat
Didier Jolly
2020-2026
Code postal 52320
Code commune 52480
Démographie
Gentilé Soncourtois
Population
municipale
341 hab. (2021 en diminution de 10,97 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 12″ nord, 5° 06′ 54″ est
Altitude Min. 222 m
Max. 391 m
Superficie 13,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chaumont
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bologne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Soncourt-sur-Marne est une commune française située dans le département de la Haute-Marne, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située sur la rive gauche de la Marne.

L'ouest et le nord de Soncourt sont occupés par des collines boisées. De l'ouest coule le ruisseau de l'Abbaye, formant un vallon entouré de champs et de coteaux, le ruisseau traverse le village d'ouest en est pour se jeter dans la Marne. L'extrémité du vallon est occupé par la ferme dite de l'Abbaye.

Le côté sud du village s'ouvre sur la vallée de la Marne, en direction du village de Vraincourt. À l'est s'étendent des prairies traversées par la Marne et le canal de la Marne à la Saône.

Quelques habitations isolées jalonnent le territoire communal : la ferme de l'Abbaye, la ferme du Champ de la Grange, le Charmont, la maison Calvès.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 967 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Blécourt », sur la commune de Blécourt à 14 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 879,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Transport[modifier | modifier le code]

  • Un arrêt de bus SNCF Joinville - Chaumont avec aller/retour quotidien

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Soncourt-sur-Marne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chaumont, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,3 %), terres arables (35,8 %), prairies (8,4 %), zones urbanisées (2,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dès 1050, il est fait mention dans diverses archives de Secundi Curtis, de Suncort à l'époque de Philippe Auguste, de Suncurt puis Soncor à l'époque de saint Louis.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire de Soncourt est liée à celle du village de Vignory, situé à 3 km au nord. Le démembrement de l'empire de Charlemagne en 843 amène un seigneur à s'emparer du territoire de Vignory où il se fait bâtir un château fort. Jusqu'au XVIIIe siècle, Soncourt sera alors une dépendance de la seigneurie de Vignory.

Vers 1220, Gautier Ier, seigneur de Vignory de 1191 à 1229, offre aux religieux cisterciens de l'abbaye du Val des Choues le vallon dit de Dame Richier, sur le territoire de l'actuelle commune de Soncourt sur Marne. Ces religieux y fondent le prieuré de Lagenevroie, ou La Genevroye, du nom des nombreux genévriers qui couvrent les pentes des collines entourant le vallon.

L'église de Saint-Hilaire, bâtie à la limite nord du village semble être l'un des plus anciens lieux de culte chrétien de la région. Elle était utilisée par les villageois de Vignory, Soncourt et Vouécourt. Vignory est la première à s'en séparer au Xe siècle, puis ce sera Soncourt, qui consacre son église Saint-Martin en 1245.

En 1358, l'abbé Lorrain, du prieuré de Lagenevroie, rapporte dans sa chronique que le seigneur de Bulgnéville assiège puis prend le château de Vignory. À cette occasion, le village de Soncourt est pillé et incendié, ses habitants pourchassés et rançonnés, le prieuré et l'église furent également la proie des flammes.

À partir du XIVe siècle, la seigneurie de Vignory passe successivement à plusieurs maisons, au gré des alliances et des héritages, et elle est érigée en comté en 1559 sous les de Lenoncourt.

Après que l'Assemblée Nationale ait décidé la vente des biens ecclésiastiques, le prieuré de La Genevroye est vendu en 1790 et les religieux quittent le site. Soncourt-sur-Marne devint une commune à la suite de la loi du .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[14].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Du point de vue administratif, la commune fait partie de l'arrondissement de Chaumont dans le département de la Haute-Marne en région Grand Est. Elle est membre de la communauté d'agglomération de Chaumont, du Bassin Nogentais et du Bassin de Bologne Vignory Froncles qui regroupe 63 communes.

Du point de vue électoral, la commune fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Marne depuis le redécoupage des circonscriptions législatives françaises de 2010 et, depuis la réforme territoriale de 2014 du canton de Bologne.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

En analysant les résultats électoraux de la commune, on peut constater une tendance au vote à droite des électeurs de la commune avec quasiment que des victoires systématiques des candidats Les Républicains aux élections majeures.

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Élections régionales, résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Élections européennes[modifier | modifier le code]

Référendums[modifier | modifier le code]

  • Le référendum de 1992 où la question posée était « Approuvez-vous le projet de loi soumis au peuple français par le Président de la République autorisant la ratification du traité sur l'Union Européenne ? » : 56,60 % de NON, 43,40 % de OUI, 78,91 % de participation.
  • Le référendum de 2000 où la question posée était « Approuvez-vous le projet de loi constitutionnelle fixant la durée du mandat du Président de la République à cinq ans ? » : 72,46 % de OUI, 27,54 % de NON, 31,49 % de participation.
  • Le référendum de 2005 où la question posée était « Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la ratification du traité établissant une Constitution pour l'Europe ? » : 63,13 % de NON, 36,87 % de OUI, 70,69 % de participation.

Élections départementales (cantonales), résultats des deuxièmes tours[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1912 mai 1925 Abel Remy SE  
mai 1925 1940 (démission) Jules Roux SE  
1940 mai 1945 Émile Bigey (intérim) SE  
mai 1945 octobre 1947 Jules Roux SE  
octobre 1947 1958 (démission) Paul Marangé SE  
1958 mars 1959 Fabien Caussin SE  
mars 1959 mars 1965 Martial Adnot SE  
mars 1965 1967 (démission) Henri Duchêne SE  
1967 mars 1977 Hubert Massard SE  
mars 1977 1981 (démission) Daniel Privet SE  
1981 mars 1989 Georges Husset SE  
mars 1989 mars 2001 Jean-François Meylan SE Enseignant des Sciences de la vie et de la Terre
mars 2001 mars 2008 Michel Ménétrier SE Cadre commercial
mars 2008 juin 2010 (démission) Jean-François Meylan SE Retraité
septembre 2010 décembre 2011 (démission) Jean-Éric Lahoreau SE Ancien directeur général adjoint des services de la ville de Chaumont
10 février 2012 mars 2014 Ghislaine Perrin SE Retraitée
mars 2014 juillet 2020 Jacky Rubini SE Retraité
juillet 2020 en cours Didier Jolly SE Technicien en machines agricoles

Finances locales[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune disposait d'un budget de 244 000  dont 131 000  de fonctionnement et 113 000  d'investissement, financés à 66.41 % par les impôts locaux avec des taux d'imposition fixés à 17,34 % pour la taxe d'habitation, à 22,66 % pour la taxe foncière sur le bâti et à 35,97 % sur le non - bâti. Cette même année, la dette cumulée de la commune s'élevait à 257 000 , soit 678  par habitant[15].

Les années précédentes, la dette cumulée s'élevait à :

  • 257 000 € en 2020, soit 678 € par habitant ;
  • 251 000  en 2019, soit 660  par habitant ;
  • 269 000  en 2018, soit 688  par habitant ;
  • 293 000  en 2017, soit 731  par habitant ;
  • 319 000  en 2016, soit 780  par habitant ;
  • 552 000  en 2015, soit 1 343  par habitant ;
  • 416 000  en 2014, soit 1 007  par habitant ;
  • 49 000  en 2013, soit 118  par habitant ;
  • 65 000  en 2012, soit 155  par habitant ;
  • 80 000  en 2011, soit 188  par habitant ;
  • 88 000  en 2010, soit 210  par habitant ;
  • 102 000  en 2009, soit 246  par habitant ;
  • 116 000  en 2008, soit 336  par habitant ;
  • 122 000  en 2007, soit 354  par habitant ;
  • 134 000  en 2006, soit 390  par habitant ;
  • 146 000  en 2005, soit 424  par habitant ;
  • 73 000  en 2004, soit 213  par habitant ;
  • 78 000  en 2003, soit 227  par habitant ;
  • 85 000  en 2002, soit 245  par habitant ;
  • 40 000  en 2001, soit 116  par habitant ;
  • 42 000  en 2000, soit 123  par habitant.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[17].

En 2021, la commune comptait 341 habitants[Note 4], en diminution de 10,97 % par rapport à 2015 (Haute-Marne : −4,53 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
378383405433473486488470466
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
419420409418405404413369383
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
404375403379403427391356383
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
373366331336331339407408373
2021 - - - - - - - -
341--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La « fête du village » a lieu chaque année au mois de mai, où les habitants sont invités à un apértif-concert avec les Amis de la Musique de Bologne. L'association le "Club des Trois-Vingt" présidée par Édith Jolly organise tous les premiers dimanches d'août une brocante - vide-greniers. Pour chaque 13 et , la commune propose une distribution de lampions, un feu d'artifice puis une soirée dansante à la salle des fêtes, et le lendemain matin se déroule la Lyre Joyeuse accompagnée d'un vin d'honneur et d'un repas, et enfin différentes animations sont proposées l'après-midi. La commune comprend aussi en son sein d'autres associations telles que l'association du « Solex Soncourtois », qui propose en fin d'année une soirée Beaujolais et qui est présidée par Mickaël Teinturier, celle présidée par Régis Perrin : « Eurosolex », la société de pêche le « Brochet Soncourtois », présidée par Mathieu Caussin, et qui organise chaque année la Fête de la pêche à la Fontaine de l'Érable, la société de chasse des bois la « Diane Soncourtoise » dirigée par Laurent Piot, et enfin la société de chasse en plaine la « Saint-Hubert » présidée par Tony François.

Économie[modifier | modifier le code]

Au dernier recensement de 2011, Soncourt-sur-Marne comptait 96,5 % de résidences principales et 1,0 % de résidences secondaires.

Le revenu fiscal net par foyer dans la commune était de 22 661  en 2010.

Au 3e trimestre de 2013, le taux de chômage dans la zone d’emploi de Chaumont - Langres à laquelle appartient Soncourt-sur-Marne était de 8,6 %.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Martin
  • Chapelle Sainte-Hilaire et son cimetière (en dehors du village)
  • Ancienne abbaye (en dehors du village, quelques restes)

Édifices profanes[modifier | modifier le code]

  • Mairie. La cour de la mairie a été rénovée durant l'été 2013
  • Monument aux morts
  • École maternelle entièrement rénovée et agrandie en 2013 et 2014
  • Micro-crèche depuis janvier 2013
  • Nouvel hangar communal reconstruit en 2014
  • Station de traitement des eaux usées par filtre avec plantation de roseaux opérationnelle (2014-2015).

Autres[modifier | modifier le code]

  • Le conseil municipal décida de viabiliser le lotissement communal Porte-Joie de septembre à novembre 2003. Depuis 2006, chaque parcelle est occupée, et on retrouve juste à côté le terrain de jeux (tables de ping-pong, parcours pour vélo cross, jeux pour enfants...).
  • La commune est aussi dotée d'un hébergement touristique depuis 2006 : une Habitation Légère de Loisirs (H.L.L) "Les Iris", qui a reçu le label 3 clés au niveau de Clévacances.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Soncourt-sur-Marne et Blécourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Blécourt », sur la commune de Blécourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Blécourt », sur la commune de Blécourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  15. « Erreur », sur www.impots.gouv.fr (consulté le )
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.